Plus personne ne peut aujourd’hui l’ignorer : Jérémy Ménez est redevenu un buteur. L'illustration d'une renaissance aussi, pour celui qui avait déjà ébloui la Ligue 1, et était devenu le joueur clé du dispositif parisien sous les ères Kombouaré puis Ancelotti, avant de faire pâle figure face à la concurrence grandissante dans le vestiaire parisien sous Blanc.
Deux saisons pleines et pourtant, dès l’arrivée de Laurent Blanc sur le banc de la capitale en 2013, on avait perdu trace de l'ancien grand espoir du foot français. Il n’avait que peu contribué au sacre du PSG (16 apparitions en Ligue 1, 2 buts). Surtout, il n’avait fait parler de lui que pour ses sorties médiatico-sportives, ses réactions envers les arbitres, ses coéquipiers et son entraineur, pâtissant de l’héritage des relations tendues entretenues avec celui qui était son sélectionneur pendant un Euro 2012 loin d’être mémorable.
Avant d’être le rebelle des terrains de foot, Jérémy Ménez était avant tout un joueur qui se distinguait par son irrégularité tout en cultivant une forme de génie. Ménez, le type de joueur à aimer ou détester. Mais le constat est qu'après un divorce difficile au PSG, le mariage semble fonctionner avec l’AC Milan. Deux cœurs brisés se sont trouvés au bon endroit, au bon moment.
这一段大意是:没有人会怀疑现在的梅内兹再次成为一名射手(是么?
),并且在米兰重生了。接下来文章回顾了他在巴黎的三年职业生涯——前两年与最后一年的对比。并且说到,小梅是那种要么喜欢要么讨厌的球员,从来没有中间的选择