Cela faisait plusieurs heures que je marche déjà, mes pieds sans souliers criant plainte en m'envoyant une douleur aiguë.
J'avais tué quelqu'un.
J'ai tué quelqu'un, et la seule et unique preuve se retrouvait entre mes mains; l'œil du victime.Devenu déjà sèche.J'ai planté plusieurs fois le couteau dans son ventre, ignorant ses cris déchirants qui prirent fin à la troisième minute.Je suppose qu'il avait eu tellement mal que sa voix s'était perdu, ou qu'il était déjà mort.Le sang de couleur cerise a sali mes vêtements, mes cheveux châtains et j'avais essuyé le peu de liquide sur mon visage avec ma main, créant ainsi une tâche sur ma face.
Après m'être calmé, je ressentis une douleur psychologique au ventre: j'avais mal rien qu'en regardant ses blessures: sa foie sortie du ventre, son estomac réduit en morceau.Cela devait faire extrêmement mal.Et après, ignorant le dégoût provenant de mon cerveau, je lui creusa un œil à main nue.
Je me pencha vers l'avant, mis l'arme sur son cou, et frappa.
Voilà, ça avait commencé.
Je fus prise d'une adrénaline folle.
Mon esprit se vida sans même que je l'essaye.Naturellement.
Je rassembla mes derniers forces, et commença à le poignarder partout sans arrêt, jusqu'à ce qu'on ne pouvait même plus distinguer ses poumons, son cœur, son viscère.
Fatiguée, je repose le couteau à côté de moi, et me leva.L'œil avait été écrasé par ma main gauche et du liquide transparent s'y était écoulé sous l'impact.
Je me leva et pivota en direction de la porte.Les policiers avaient défoncés ma porte et se retrouvaient à l'entrée, leurs regards terrifiés réveilla en moi une vive excitation.
Le silence totale.Personne ne parlait.
J'ai sentis dans l'air la tension des policiers, et j'explosa d'une fou rire impossible à s'arrêter.
Je me pencha, ramassa mon couteau, et avança.
Un pas.Les policiers avaient enlevé la sécurité du pistolet.
Deux pas.Ils reculèrent d'un petit pas eux aussi, l'un d'entre eux ferma son œil gauche, prêt à tirer.
Trois pas. Ils on commencé à m'avertir d'arrêter de marcher, que je vais me blesser ou mourir si je continuais.
Quatre pas.Trois avaient tirés, une balle m'a frôlé les cheveux.Apeurés de mon altitude, l'un d'entre eux s'était enfui.
Et les autres, ayant essayé de l'arrêter, ont été projeté par terre.
Le temps était arrivé.Je courrai vers eux de ma vitesse la plus vite, arriva devant un policier qui avait perdu son pistolet, et planta mon couteau sur son cou.
Il n'avait même pas pu crier sa douleur.
Je me retourna, donna un coup de pied à la deuxième et le tua par cerveau.
Le plus courageux s'est saisi de son pistolet et a tiré 3 fois de suite.
Je coupa son pistolet en deux, et le mis à terre.
Je frappa.
Et encore une fois.
Et une troisième fois.
J'ai frappé au moins 5 fois sur son visage avant de m'arrêter.
Observant son visage défiguré, je murmura un pardon à peine inaudible.
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J'avais tué quelqu'un.
J'ai tué quelqu'un, et la seule et unique preuve se retrouvait entre mes mains; l'œil du victime.Devenu déjà sèche.J'ai planté plusieurs fois le couteau dans son ventre, ignorant ses cris déchirants qui prirent fin à la troisième minute.Je suppose qu'il avait eu tellement mal que sa voix s'était perdu, ou qu'il était déjà mort.Le sang de couleur cerise a sali mes vêtements, mes cheveux châtains et j'avais essuyé le peu de liquide sur mon visage avec ma main, créant ainsi une tâche sur ma face.
Après m'être calmé, je ressentis une douleur psychologique au ventre: j'avais mal rien qu'en regardant ses blessures: sa foie sortie du ventre, son estomac réduit en morceau.Cela devait faire extrêmement mal.Et après, ignorant le dégoût provenant de mon cerveau, je lui creusa un œil à main nue.
Je me pencha vers l'avant, mis l'arme sur son cou, et frappa.
Voilà, ça avait commencé.
Je fus prise d'une adrénaline folle.
Mon esprit se vida sans même que je l'essaye.Naturellement.
Je rassembla mes derniers forces, et commença à le poignarder partout sans arrêt, jusqu'à ce qu'on ne pouvait même plus distinguer ses poumons, son cœur, son viscère.
Fatiguée, je repose le couteau à côté de moi, et me leva.L'œil avait été écrasé par ma main gauche et du liquide transparent s'y était écoulé sous l'impact.
Je me leva et pivota en direction de la porte.Les policiers avaient défoncés ma porte et se retrouvaient à l'entrée, leurs regards terrifiés réveilla en moi une vive excitation.
Le silence totale.Personne ne parlait.
J'ai sentis dans l'air la tension des policiers, et j'explosa d'une fou rire impossible à s'arrêter.
Je me pencha, ramassa mon couteau, et avança.
Un pas.Les policiers avaient enlevé la sécurité du pistolet.
Deux pas.Ils reculèrent d'un petit pas eux aussi, l'un d'entre eux ferma son œil gauche, prêt à tirer.
Trois pas. Ils on commencé à m'avertir d'arrêter de marcher, que je vais me blesser ou mourir si je continuais.
Quatre pas.Trois avaient tirés, une balle m'a frôlé les cheveux.Apeurés de mon altitude, l'un d'entre eux s'était enfui.
Et les autres, ayant essayé de l'arrêter, ont été projeté par terre.
Le temps était arrivé.Je courrai vers eux de ma vitesse la plus vite, arriva devant un policier qui avait perdu son pistolet, et planta mon couteau sur son cou.
Il n'avait même pas pu crier sa douleur.
Je me retourna, donna un coup de pied à la deuxième et le tua par cerveau.
Le plus courageux s'est saisi de son pistolet et a tiré 3 fois de suite.
Je coupa son pistolet en deux, et le mis à terre.
Je frappa.
Et encore une fois.
Et une troisième fois.
J'ai frappé au moins 5 fois sur son visage avant de m'arrêter.
Observant son visage défiguré, je murmura un pardon à peine inaudible.
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